Raisonnons un peu.
De source écologique bien informée (donc non politique), le mode de fonctionnement de notre société occidentale fait que les ressources de la Terre s’épuisent si la population du globe dépasse 500 millions d’individus. Nous atteignons actuellement les 7 milliards d’habitants, donc la Terre se stérilise de plus en plus rapidement.
Tous les pays ont renoncé à limiter les naissances, même si, à grands coups publicitaires, on favorise l’homosexualité.
La médecine continue à vouloir soigner les gens, surtout dans les pays en surnatalité.
Les humanitaires s'obstinent à apporter davantage de commodités aux pays surpeuplés pour qu’il y ait toujours plus de naissances.
Que faire ? Il faut donc que les gens meurent plus rapidement.
Oui mais lesquels ? Ben ceux qui coutent le plus cher à la planète : les occidentaux. Pas de pots, ce sont eux les mieux armés.
Comment les occire malgré tout ? En provocant des guerres civiles, par l’usage des drogues sur les jeunes, par des empoisonnements médicamenteux pour les vieux… ou des attentats.
D’accord, le rendement est ridicule mais c’est déjà ça, si cela atteint le moral de ces populations.
Quand on entend le discours des ministres-intérimaires : « Il va falloir s’habituer aux risques d’attentats terroristes sur notre sol … », ils montrent bien qu’ils n’ont aucunement l'intention de lutter contre cette manière de faire la guerre.
Parce que, enfin, qui pratique ce procédé de lutte ? Des gens parfaitement reconnaissables, et aisément différentiables des Esquimaux ou des Suédoises !
Dans notre pays où tant de gens possèdent un animal de compagnie, il est invraisemblable de supposer que ces mêmes gens ne soient pas capables de distinguer s’ils ont un caniche plutôt qu’un doberman, et sans les suspecter de racisme !
Machiavel pas mort.
Et devant la télé, j’ai mon sac à vomi…
